mars 2015
Archive mensuelle
Archive mensuelle
Créé par pcdp le 22 mar 2015 | Dans : Non classé
les oeufs
Les œufs se ramassent plusieurs fois par jour hiver comme été .On les conservera dans une cave fraiche ou au réfrigérateur . Pour le gout et pour que l’albumen se détache mieux de la membrane coquillère, il est préférable d’attendre deux jour avant de consommer des œufs frais . Les œufs souillé sont a consommer sans tarder après avoir ôté les impureté à l’eau chaude .De nouvelles études démontrent que seul le cholestérol produit par le corps est nocif ; les œufs peuvent donc être consommer sans scrupules en quantités raisonnable .Des expositions d’œufs aident a choisir la couleur des coquilles d’œufs des différentes races .
la viande
La viande de poules vivant en liberté est plus savoureuse mais aussi plus ferme que celle de la volaille d’engraissement industrielle .La poitrine et les cuisses constituent des mets particulièrement délicats .
les excréments
Les excréments de volaille ont une grande valeur fertilisante .Ils contiennent environ 25% de substance organique et beaucoup plus d’azote, de phosphore et de potassium que les autres matières fécale .Chaque animal en produit environ 150 à 200 g par jour .On les mélangera de préférence au compost ou on les préparera avec une quantité au moins équivalente -si possible plus d’eau que de purin- que l’on répandra après l’avoir dilué une nouvelle fois .
les plumes
A l’exception des plumes de certaines races utilisé a des fins décoratives parce qu’elle ont une forme ou un coloris particulièrement esthétiques, le plumage peut uniquement être composté ou enfoui .
Créé par pcdp le 22 mar 2015 | Dans : Non classé
Le combat de coqs séculier est une discipline qui consiste à faire s’affronter deux coqs préparés aux combats sur une aire prévue à cet effet appelée gallodrome Cette pratique très ancienne est devenue très controversée en raison des mutilations que subissent les coqs tant et si bien qu’elle est interdite dans de nombreux pays. Elle reste néanmoins très populaire dans différentes régions du globe et fait l’objet de paris légaux ou illicites.
Histoire
Le combat de coqs est aussi vieux que la domestication du coq sauvage. Le coq sauvage gallus gallus aurait été domestiqué en Asie pour ses qualités belliqueuses. Cela date de la sédentarisation des premiers agriculteurs dans ces régions. De l’Asie, la pratique s’est répandue en Europe grâce aux Grecs, aux Romains et aux Phéniciens. Il eut beaucoup de succès en Grande-Bretagne, en Irlande, en Espagne, dans les Flandres (belge et française). Il fut tellement populaire en Angleterre, notamment dans l’aristocratie, que Cromwell décida de l’interdire pour éviter les rassemblements des royalistes autour des « pits », arènes. De l’Europe, il fut exporté aux Etats-Unis par les Anglais et Irlandais, au Brésil par les Portugais et dans le reste de l’Amérique latine par les Espagnols. Aux États-Unis, il fut pratiqué par les premiers présidents et fut tellement populaire que l’aigle américain fut préféré de justesse au coq de combat comme symbole national. Certains lui reprochaient de rappeler le colonisateur anglais puisque bon nombre de souches de coqs de combat provenaient d’Angleterre. L’Afrique l’a moins connu, mis à part Madagascar où il fut amené par les Merina de Malaisie et par les commerçants arabes. En Asie, il reste très pratiqué sauf bien sûr par les peuples nomades. En France, il est autorisé dans les localités où la tradition est ininterrompue, c’est-à-dire dans une vingtaine de gallodromes des départements du Nord et du Pas-de-Calais et dans ceux des Dom-Tom. À noter que le mot « gallodrome » utilisé dans la loi, est traduit par « pitt » dans les Antilles et « rond » à la Réunion.
Créé par pcdp le 21 mar 2015 | Dans : Non classé
La poule caquète, le poussin pépie, le coq chante. Selon les langues et les pays, la transcription phonétique de son chant prend des formes très différentes. Le chant du coq est inné, il n’est pas appris.
Créé par pcdp le 04 mar 2015 | Dans : photo de poules, Poussin et Famille
coq coucou de renne
coq meusien
coq bourbonnais
Créé par pcdp le 04 mar 2015 | Dans : Humour autour de la poule, Littérature
Créé par pcdp le 04 mar 2015 | Dans : Littérature
Deux Coqs vivaient en paix : une Poule survint,
Et voilà la guerre allumée.
Amour, tu perdis Troie ; et c’est de toi que vint
Cette querelle envenimée,
Où du sang des Dieux même on vit le Xanthe teint.
Longtemps entre nos Coqs le combat se maintint :
Le bruit s’en répandit par tout le voisinage.
La gent qui porte crête au spectacle accourut.
Plus d’une Hélène au beau plumage
Fut le prix du vainqueur ; le vaincu disparut.
Il alla se cacher au fond de sa retraite,
Pleura sa gloire et ses amours,
Ses amours qu’un rival tout fier de sa défaite
Possédait à ses yeux. Il voyait tous les jours
Cet objet rallumer sa haine et son courage.
Il aiguisait son bec, battait l’air et ses flancs,
Et s’exerçant contre les vents
S’armait d’une jalouse rage.
Il n’en eut pas besoin. Son vainqueur sur les toits
S’alla percher, et chanter sa victoire.
Un Vautour entendit sa voix :
Adieu les amours et la gloire.
Tout cet orgueil périt sous l’ongle du Vautour.
Enfin par un fatal retour
Son rival autour de la Poule
S’en revint faire le coquet :
Je laisse à penser quel caquet,
Car il eut des femmes en foule.
La Fortune se plaît à faire de ces coups ;
Tout vainqueur insolent à sa perte travaille.
Défions-nous du sort, et prenons garde à nous
Après le gain d’une bataille.
Jean de la Fontaine
Les Deux Coqs est la douzième fable du livre VII de Jean de la Fontaine situé dans le second recueil des Fables de la Fontaine, édité pour la première fois en 1678.
Créé par pcdp le 04 mar 2015 | Dans : Littérature
La poule aux oeufs d’or.
L’avarice perd tout en voulant tout gagner.
Je ne veux, pour le témoigner,
Que celui dont la Poule, à ce que dit la Fable,
Pondait tous les jours un œuf d’or.
Il crut que dans son corps elle avait un trésor.
Il la tua, l’ouvrit, et la trouva semblable
A celles dont les œufs ne lui rapportaient rien,
S’étant lui-même ôté le plus beau de son bien.
Belle leçon pour les gens chiches :
Pendant ces derniers temps, combien en a-t-on vus
Qui du soir au matin sont pauvres devenus
Pour vouloir trop tôt être riches ?
Jean de la Fontaine
Créé par pcdp le 04 mar 2015 | Dans : Littérature
Sur la branche d’un arbre était en sentinelle
Un vieux Coq adroit et matois.
« Frère, dit un Renard, adoucissant sa voix,
Nous ne sommes plus en querelle :
Paix générale cette fois.
Je viens te l’annoncer ; descends, que je t’embrasse.
Ne me retarde point, de grâce ;
Je dois faire aujourd’hui vingt postes sans manquer.
Les tiens et toi pouvez vaquer
Sans nulle crainte à vos affaires ;
Nous vous y servirons en frères.
Faites-en les feux dès ce soir.
Et cependant viens recevoir
Le baiser d’amour fraternelle.
- Ami, reprit le coq, je ne pouvais jamais
Apprendre une plus douce et meilleur nouvelle
Que celle
De cette paix ;
Et ce m’est une double joie
De la tenir de toi. Je vois deux Lévriers,
Qui, je m’assure, sont courriers
Que pour ce sujet on envoie.
Ils vont vite, et seront dans un moment à nous.
Je descends ; nous pourrons nous entre-baiser tous.
-Adieu, dit le Renard, ma traite est longue à faire :
Nous nous réjouirons du succès de l’affaire
Une autre fois. Le galand aussitôt
Tire ses grègues, gagne au haut,
mal content de son stratagème ;
Et notre vieux Coq en soi-même
Se mit à rire de sa peur ;
Car c’est double plaisir de tromper le trompeur.
Jean de la Fontaine
Créé par pcdp le 04 mar 2015 | Dans : Humour autour de la poule, Littérature
Créé par pcdp le 04 mar 2015 | Dans : Humour autour de la poule, Littérature